il était une fois...

► Gabriel est né à Christchurch en 1985. Son père est un magnat de l’immobilier tandis que sa mère est une psychanalyste renommée qui a déjà publié plusieurs livres rapidement classés bestsellers dans leur domaine.
► Il n’a jamais eu de réelles difficultés à l’époque, faisant toujours le strict minimum pour avoir de bons résultats. Il a souvent été catalogué comme l’élément perturbateur de la classe, car il n’hésitait pas à donner son point de vue et sur rien à la fois.
► Il a toujours été en bons termes avec ses parents, malgré les frictions habituelles qu’un fils peut avoir avec ces derniers.
► Alors qu’il avait quatorze ans, son père a connu des problèmes financiers et fiscaux de premier ordre. Cela a entraîné une diminution criante du train de vie de la famille. C’est dans ces conditions que Gabriel a commencé à dealer. Grâce à cela il pouvait faire face à la rigueur budgétaire familiale.
► A seize ans, alors qu’il était un espoir au rugby, un accident de moto brise son rêve sportif. C’est alors qu’il commence réellement à consommer de la drogue, ce qu’il ne faisait pas avant, ou à de très rares occasions.
► Sentimentalement, Gabriel est un indépendant. Il aime les femmes, mais il est très peu démonstratif ce qui donne un coup d’arrêt à ses relations qui ne durent jamais longtemps.
► Nourrissant le rêve d’ouvrir un casino, il décide de suivre à l’université d’Auckland un cursus de management.
► A vingt-quatre ans, ses études terminées, il a fait une année sabbatique, durant laquelle il a parcouru le monde. A son retour, il concrétisa son rêve en ouvrant un casino. Pour que cela puisse se faire, il put compter sur l’appui financier de son père qui lui avança l’argent et devint l’actionnaire principal de l’établissement.

... toi et moi

« J’avais treize ans lorsque ma mère se décida enfin à révéler le terrible secret qui régissait mon existence. C’était un matin de juillet, un matin comme les autres. Nous prîmes tous les deux le petit-déjeuner ensemble quand sa voix fluette m’annonça qu’elle souhaitait me parler d’une chose, que j’étais assez grand pour connaître la vérité. Quand la véridicité des faits vous saute à la figure, vous ne savez plus comment vous positionnez. J’ai été en colère contre ma mère à un point tel, que je ne lui ai plus adressé la parole pendant deux semaines. Une seule personne a pu me faire ouvrir les yeux, et me montrer à quel point ma colère contre ma mère était démesurée.

J’avais fait une fugue est c’était lui qui m’avait retrouvé, car il me connaissait par cœur. A sa façon à lui il m’avait interpelé : « Hey, salut mon cousin qui n’en est pas un techniquement. » Je me tournais vers lui, les yeux emplis de colère… « Qu’est ce que tu fiches ici ? » dis-je méchamment. Je n’avais décidément pas envie de voir qui que ça soit, surtout les membres de cette famille qui m’a dissimulé, depuis des années déjà, mes origines. « Je me promenais tranquillement, profitant de l’air marin, m’imaginant voler comme un dragon dans le ciel étoilé… C’est alors que j’ai vu de la lumière et je suis entré. Et là, quelle fut ma stupeur, quand je te vis… » Il souffla avant d’ajouter : « Bêta ! J’te cherchais ! Ta mère a appelé ma mère en pleurs, en espérant que tu sois chez moi. Quand j’ai compris l’enjeu, je savais que j’étais l’homme de la situation. Je ne suis ni Superman, ni Spiderman, ni encore Batman mais je savais où te trouver. » J’en étais certain, c’était loin d’être un super héros. Ses propos me firent esquisser un sourire, mais je redevins maître la situation et je lui dis sèchement : « Maintenant que tu m’as trouvé tu peux faire comme dans l’infanterie et tu te tires ailleurs ! » A mon grand étonnement il s’esclaffa de rire et les yeux brillants « Belle référence à Back to the future ! Franchement, respect cousin ! » Je lui répondis du tac au tac… « Je ne suis plus ton cousin, je ne suis qu’une chose insignifiante qui a servi de bouche-trou pendant treize ans ! » Gabriel leva les yeux au ciel exaspéré… « Bon j’avoue, si tes parents ne t’avaient pas trouvé au fin fond d’une église comme le petit Jésus dans sa crèche, à leur mort j’aurais hérité de leurs biens… Ah la la ! Tu m’as cassé tous mes plans… Tsss. Mais franchement, tu fais partie intégrante de notre famille… Les liens de sang ne font pas tout. La clef d’une famille est l’amour et peu importe que tu sois adopté ou pas. Tu es mon cousin. Point final. Et tu ne rebèques pas sinon tu te prends une mandale ! » Je riais à ses propos. Après une longue discussion ponctuée de petites blagues, il avait réussi à me faire faire le premier pas… Rentrer chez moi. Cependant, il me fallut prendre sur moi avant d’adresser de nouveau la parole à ma mère. Toutefois Gabriel m’aida à trouver la voie. »




« Avec mon cousin, nous nous entendons à merveille. Il est comme mon frère. Cependant, nous avons vraiment tous les deux de forts caractères et cela crée beaucoup d’engueulades entre nous. Elles sont sans de véritables conséquences, mais peuvent entraîner beaucoup de frictions momentanées entre nous. Je me souviens de notre première véritable engueulade. C’était le jour où j’avais appris qu’en plus de vendre de la drogue, il en consommait de plus en plus. Cela faisait suite à son accident de moto qui avait anéanti complètement son rêve de rugby. C’était un soir de pleine lune. Je comptais le prendre pour qu’on aille à une soirée. Ses parents étaient partis en weekend prolongé pour affaire. Quand je suis monté dans sa chambre, ce que je vis me pétrifia. Il était avachi sur son lit, les yeux mi-clos. « Putain Gab ! Qu’est ce que tu as fichu ! » Au son de ma voix, il ouvrit les yeux et avec un sourire niais il réussit à dire difficilement « Yo cousin ! Comment vas-t-y bien ? La pêche ? » Je le tirais sans ménagement du lit… « Mieux que toi, oui ! Tu as pris de la drogue ? » Comme un petit enfant fier de son geste, même s’il a fait une vilaine bêtise, il dit gaiment « Oui ! Tu veux un rail ? Comme ça on pourra faire la locomotive ! TCHOU ! TCHOU ! » Il pouffa bêtement. « Franchement Gabriel ! Ce n’est pas drôle. Tu pourris ta vie en consommant de la drogue comme ça… D’accord, tu ne peux plus faire de rugby, soit… Consommer rail sur rail, ne te fera pas revenir en arrière. Et même si par l’opération du Saint Esprit, tu peux refaire du rygby, tu crois sincèrement qu’ils accepteront un camé dans l’équipe ? » Il rebéqua. « Et pourquoi pas ? Si on crée le monde des Téléteubies, c’est possible ! » Je n’en puis plus et ma main vint lui en foutre une… « Ecoutes si tu veux faire comme dans Requiem for a dream, tant mieux pour toi… C’est sûr que te faire amputer d’un bras ou faire une overdose c’est magnifique… Sur ce, je te laisse dans ta merde pauv’ con ! » Je m’exécutais et je descendais dans le salon, attendant qu’il se rétablisse. Quand il me rejoignit, il n’était pas très fier de lui et il se confondit en excuses. « Elles sont bien belles tes excuses, mais il n’empêche que tu m’as fait peur ! Si tu continues comme ça, tu vas foutre ta vie en l’air ! » « Mais si j’ai envie de foutre ma vie en l’air, je suis libre de le faire… Je n’ai pas besoin de ton avis. C’est ma vie après tout. Libre à moi d’en faire ce que je veux alors arrêtes de me faire chier pour si peu ! » La moutarde me monta au nez. Si peu, il rigolait là ! « Tu te fous de moi ? Si peu ! Tu as vu la gueule de déterré que tu as ? Tu ressemblais à un zombie ! Mais bon, tu as peut-être raison… Je m’inquiète pour pas grand-chose… Je te laisse à tes occupations ! Ciao ! » Et je m’éclipsais… J’entendis un simple « Daniel reviens ! » Je ne me suis même pas retourné. J’avais fermé la porte.




Daniel et Gabriel sont en fin de compte comme cul et chemise, très complice, toujours ou presque fourré ensemble. Ils partagent souvent les mêmes délires. Cependant, ils leur arrivent de s’engueuler, souvent pour pas grand-chose, pour un oui, pour un nom. Ils trouvent toujours le moyen de mettre leur fierté respective de côté pour se rabibocher. La dernière mise au point en date concerne la relation entre Maya et Daniel. Gabriel n’aime pas que son cousin continue à fréquenter cette fille qui s’est révélée être sa sœur jumelle.

j'aimerais... je voudrais...

Bonjour à vous !


Tout d’abord, je vous remercie gracieusement de vous être penché sur mon scénario. C’est un lien important pour mon personnage.

Tout d’abord j’aimerais que le prénom principal ne change pas. Cela dit, selon lequel vous souhaitez me proposer je peux accepter. Pour le nom de famille, vous pouvez prendre le même que mon personnage (si leurs deux pères sont frères) ou en créer un à votre convenance si c’est le père de Daniel et la mère de Gabriel qui sont liés par un lien de fraternité.

Pour les repères biographiques j’aimerais qu’ils soient respectés, cependant si quelque chose vous chagrine nous pouvons toujours en discuter par MP.

Concernant l’avatar, en premier lieu j’aimerais que le cousin de mon personnage soit représenté par Andrew Garfield. Cependant, il est possible pour vous de prendre Gaspard Ulliel, Jon Kortajarena ou encore Mat Gordon. Cependant, je suis ouvert à d’autres propositions, mais je n’hésiterais pas à mettre mon véto si une célébrité proposée ne me convient pas.

Je demande une présence assidue sur le forum et sur Facebook et un bon niveau rp (privilégiez la qualité à la quantité) à la personne qui succombera aux charmes de mon scénario.

Bien sûr un passage par ma fiche de présentation s'impose car je le fais intervenir

Je pense avoir fait le tour. Si vous prenez mon scenario, sachez que vous aimerez pour le restant de mes jours (Je trouve que construire un temple en chocolat c’est du déjà vu ^^)

avatar par © Lemon.Incest