il était une fois...

Né à Londres, au Royaume-Uni. Ses parents sont tous les deux anglais d'origine de naissance. Les parents se nomment Harry et Rosalinde. Famille moyennement aisée. Mère institutrice, père professeur à l'université de Londres. A une petite soeur de deux ans sa cadette, Elizabeth, avec qui il s'est toujours bien entendu. Est un petit garçon curieux de tout, relativement sage et obéissant, calme. Jamais du genre à causer des problèmes pour rien. A l'âge de l'adolescence, Will fait quelques tours chez le proviseur de son collège, de son lycée, mais ce n'est jamais bien grave, malgré sa part d'insolence séduisante. Il n'en reste pas moins respectueux avec les autres, c'est juste que faire les cons avec les amis, c'est un passage obligatoire. Se passionne pour la littérature et les écrits de son pays, mais aussi d'Amérique, de France. William est un garçon cultivé. Il enchaine quelques aventures plus ou moins sérieuses. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, il ne prend pas ça à la légère. De moins en moins en tout cas. Première peine de coeur à l'âge de dix-huit ans quand la belle Lisa le trompe avec la grosse brute Tom, qui au final n'a même pas eu son diplôme. Non mais vraiment... Se lance dans des études de Lettres Classiques et Modernes. Il adore. Après avoir fêté ses vingts ans, apprend que son père hérite d'une librairie en Nouvelle-Zélande, à Auckland. Belle opportunité. Ils partent tous les quatre en Océanie pour débuter une nouvelle vie, changer d'air. Le père retape la librairie Knight tout en lui laissant cette grande part de charme. C'est un endroit convivial où les plus férus de la littérature, principalement anglaise, sont privilégiés. Un coin lecture est même installé afin de permettre à certains habitués de lire leur livre avec un bon café. William apprend désormais à gérer la librairie de plus en plus. Cet endroit représente beaucoup à ses yeux, il s'y sent bien. Obtient son diplôme en fin de master, et gère la librairie de façon autonome. Actuellement en couple avec une jeune femme rencontrée il y a un an en arrière à l'université. Cela fait deux mois qu'ils sont ensemble. Petite routine...

... toi et moi

Ҩ Esther Doyle feat Natalia Vodianova.

Juillet 2005 - Nord de l'Ecosse
Cinq familles réunies durant une semaine en juillet, dans un beau château. Peu d'enfants, quatre ou cinq, tout au plus. Parmi eux William dix-huit ans, sa petite soeur Lisbeth de deux ans sa cadette et Esther, du même âge que William. Très vite, le jeune homme tape à l'oeil de la jeune femme, et réciproquement. Tout commença par des regards plus ou moins insistants, puis de furtifs sourires. Esther sympathise rapidement avec la jeune Lisbeth. Cette dernière lui parle un peu de son frère, et c'est ainsi que son attrait pour lui s'accroît. D'ailleurs, chaque fois qu'elle le croise, son coeur précipité trahit ses émotions. De nombreuses soirées passées à trois, où William lui aussi se trouve séduit par la jeune fille. Seul un baiser sera partagé entre les deux, la veille de leur départ. Esther aurait désiré plus du jeune homme, mais c'est elle, qui se mit une barrière, sous prétexte de vouloir paraitre mystérieuse. A l'époque, le jeune Knight vit encore en Angleterre et elle ne s'attend donc pas à le revoir.

Décembre 2009- Aéroport Charles de Gaulle à Paris
En salle d'attente, assise les jambes croisées, son regard survolant son magazine, Esther finit par lever le bout de son nez et son regard se pose sur Alec, son petit-ami, dans les bras de Morphée. Elle soupire et regarde les gens passer. Esther allait reprendre sa lecture lorsque son regard croisa une silhouette au loin. Et à partir de ce moment, elle ne la quitta plus des yeux. Trois années étaient passées et pourtant, elle aurait reconnu cet homme parmi cent. Il avait changé, sa carrure plus imposante, sa tenue plus sûre, une barbe naissante sur son visage, des cheveux quelques peu bouclés... Mais toujours le même regard des Knight. Le coeur d'Esther se mit à battre à la chamade sans qu'elle n'y prenne garde. Si elle ne faisait rien, William allait passer sans même la remarquer et elle s'en voudrait pendant des jours et des jours. Esther posa sa revue sur le côté et se leva à toute vitesse. Plus qu'à quelques mètres de lui, le jeune homme croisa enfin son regard et il se stoppa net au bout de deux secondes, même pas. Ce seul regard suffit à Esther pour se sentir frôler l'interdit. « Esther ? » Elle lui fit signe de se taire et attrapa sa main afin de l'entraîner dans un endroit un peu en recul, de sorte à ce que peu de gens, et surtout pas Alec, ne les voit. Esther s'appuya contre le mur et adressa un sourire au jeune homme. « Waou. » Esther n'en revenait toujours pas. « Tu as un peu changé... Mais je t'ai reconnu au premier coup d'oeil. » Chuchota-t-elle, heureuse. William avait cet air attendri qu'elle adorait avant de l'inspecter. « Et toi, tu as pris des formes. » Elle le tapa gentiment. « Pourquoi me tapes-tu, c'est un compliment. Crois-moi. » Puis elle leva les yeux en l'air avant de se pincer les lèvres. « C'est incroyable, te revoir ici, après plusieurs années. Je ne pensais pas.. » William voyait clair dans son regard. Il caressa le bout de ses doigts. « La vie réserve parfois de bonnes surprises. » Dit-il avec son sourire charmeur tandis que son visage s'était approché du sien. A ce moment-là, ce n'est pas sa voix qui résonna, mais celle du haut parleur. Les voyageurs embarquant dans tel avion étaient invités à embarquer, sans attendre. Dernier appel. William ne quitta pas le regard d'Esther et s'approcha un peu plus jusqu'à déposer ses lèvres sur les siennes. Elle ne l'en empêcha pas et apprécia l'agréable sensation que procurait la main de William sur sa joue. Quelques secondes plus tard, il s'écarta d'elle. « C'est mon avion, je dois filer... A mon tour de jouer la carte du mystère, Doyle. » Déjà ? « Will.. » Et sans un mot de plus, elle le regarda s'enfuir vers le guichet. Elle le haït à cet instant, pour lui faire subir ça. Elle n'avait même pas eu le courage de lui demander un numéro, une adresse. William se tourna avant de rentrer dans le long tunnel et lui adressa un dernier sourire. La jeune femme releva son regard et constata que l'avion partait en direction de New York. Loin, très loin d'elle, qui rentrait à Auckland.

Juin 2011 - Auckland
« Kristin, regarde donc cette jolie librairie ! On se croirait en face de Shakespeare and company en plein Paris, tu ne trouves pas ? » Les yeux d'Esther brillaient. Elle raffolait depuis toujours des vieilleries coquettes. Cette librairie ressemblait à un petit bijou ancien qu'il ne fallait pas abîmer. En tout cas, elle entraina sans attendre son amie vers la porte, et pénétra, suivie de Kristin, dans l'atmosphère mystérieuse de l'endroit. Elles étaient charmées, surtout la belle Doyle, qui promenait son regard partout autour d'elle, émerveillée. L'odeur était agréable, tout autant que le bruit du parquet ancien sous ses courts talons. « Cherchez-vous un livre en particulier, mesdemoiselles ? » Cette voix qui retentit, aussi douce qu'imposante, attira toute l'attention d'Esther. Elle se retourna et tomba nez à nez avec William. C'était le destin, impossible autrement. Les deux jeunes gens furent stupéfaits de se retrouver, à nouveau, l'un en face de l'autre. Kristin, elle, ne comprenait pas. « Esther. » La concernée reprit ses esprits tandis que William faisait tout pour paraitre le plus intéressé possible par la réponse de sa cliente. Mais au fond, il était tout aussi chamboulé et.. heureux de la voir. « Je.. Euh... Shakespeare. Le songe d'une nuit d'été, de Shakespeare. S'il-vous-plait. » Dit-elle précipitamment. Intérieurement, elle se demandait à quoi il jouait. N'était-il pas surpris de la voir ? Content ? Enfin, quelque chose. William ne semblait rien montrer. Il leur demanda même de le suivre à l'étage, ou tout un pan de mur était réservé au génie anglais. « Si vous avez la moindre question.. je serai en bas. » Dit-il, en accompagnant ses paroles d'un sourire discret. Il les quitta après avoir furtivement regardé Esther. Rien que ça...

j'aimerais... je voudrais...

Salut la compagnie !

Merci de vous intéresser à mon scénario tout d'abord, car il me tient très très à cœur. Sans lui, j'avancerai difficilement étant donné que c'est un futur lien amoureux, déjà bien dessiné. Mes attentes concernant la personne qui prendra mon beau William ne sont pas très exigeantes. Je ne demande pas des posts de cinquante lignes... Ce qui m'intéresse, c'est le contenu. (a) Je demanderai cependant quelqu'un qui ne fasse pas trop de fautes d'orthographe s'il-vous-plait, ça me fait taper du pied. x) Ensuite, pour l'avatar, je vous avoue que je tiens énormément à James Franco ou Henry Cavill... mais si vraiment il ne vous plait pas, je vous propose comme indiqué dans le titre Joseph Gordon-Levitt.

Voilà, je pense avoir fait le tour... Je veux bien construire un temple en chocolat avec une cerise au-dessus à la personne qui voudra jouer mon cher William.

avatar par © Crustyreek